Les opinions personnelles du Professeur Séralini ne doivent en aucun cas être utilisées pour discréditer sa rigueur. Or, de la même manière [si les mêmes normes étaient appliquées aux chercheurs pro-OGM], les précédents résultats obtenus par les chercheurs pro-OGM pourraient eux aussi être contestés, tout comme ceux obtenus par les laboratoires s’intéressant à leur diffusion. Étonnamment, ces « inclinations favorables » ne semblaient alors pas ennuyer ceux qui aujourd’hui s’attaquent avec véhémence au Professeur Séralini et à son article paru dans la revue « Food and Chemical Toxicology ».
Frederic Durand, professeur agrégé, Département de géographie, Université de Toulouse, France